Son jardin d'hiver à Menton, aménagé dans le vallon de Gorbio autour d'une ancienne ferme agrandie, était destiné aux plantes rapportées d'Extrême-Orient ou d'Afrique. Il se caractérise par un enchevêtrement dense d'espèces indigènes et importées. A l’intérêt botanique s’ajoute la qualité de la composition, structurée par des escaliers et des terrasses où prennent place serres et bassins. Le jardin a été sauvé de la destruction en 1990 grâce à une mesure de classement d’office par décret en Conseil d’Etat.